Mercredi 7 Septembre 2016 - Eugies en Belgique avec UTL Mons

La place centrale d'Eugies était bien animée. Nos amis de l'UTL Mons nous attendaient pour nous faire découvrir la région et particulièrement le bois de Colfontaine. Trois groupes se sont formés, mêlant Montois et Maubeugeois. Au retour, une bière bien fraîche et de la tarte nous attendaient. Chacun a pu deviser. A la lecture de la brochure, nous étions envieux des activités proposées. Quand nos effectifs nous permettront-ils d'aussi riches propositions ?

Je vous invite à consulter l'historique de la région qui a été réalisé par le responsable de l'activité  marche de l'UTL à notre intention. Nous nous sommes quittés en pensant déjà à nos rencontres de l'année 2017.

Eugies…Ce village doit son nom à un domaine qui s’y trouvait autrefois et dont le propriétaire s’appelait ou Wis, ou Wion ou Iwo. Dès 1167, on retrouve, dans des textes authentiques, certaines variantes du mot lwegies, Ugies ou Vigies. Les habitants ont d’ailleurs conservé ce terme en le déformant un peu dans leur patois : Widgies.Cours d’eau :

Rieu du bois de Colfontaine

Rieu du Cœur

Ruisseau des Rogneaux

Ruisseau du Temple

Cette commune très étendue et en partie boisée est à la charnière des différentes zones paysagères qui caractérisent l’entité de Frameries.

Au Nord-Ouest, elle se fond avec La Bouverie, en totale conurbation. Au Sud et à l’Est, l’espace bâti s’ouvre sur le plateau agricole tandis qu’à l’Ouest, le village bute contre le bois de Colfontaine. Le paysage est légèrement vallonné, composé de champs et de prairies, parcouru de petits ruisseaux. Ponctué de vergers, de bosquets et de rangs d’arbres, le contraste paysager est accentué par les différentes zones habitées, visage de la réalité économique des siècles passés.

Eugies résulte en effet de la réunion, en 1726, du centre du Petit-Eugies et de deux lieux-dits : le Culot, à l’orée du bois de Colfontaine et l’Aisette, proche de La Bouverie. Ces  deux lieux-dits s’étant principalement développés grâce à l’installation des houillers. On y trouve un bâti plus urbain, le centre étant resté plus rural et moins concentré. La route principale, reliant Frameries à la France, accueille aujourd’hui beaucoup de nouvelles constructions. Un axe relie l’ensemble du village et un réseau de voiries s’est étendu, organisé en boucles plus ou moins complexes.

Le bâti, voué principalement à l’habitat, s’implante souvent en parallèle à la rue, de manière lâche et aérée à Petit-Eugies alors qu’il est beaucoup plus condensé, mitoyen, à front de rue dans les autres zones. Il fut surtout construit au XIXème siècle, selon des modèles classiques ou néo-classiques. Quelques maisons de la première moitié du XXème siècle se démarquent par la taille et les matériaux. Eugies est une localité de contraste architectural.

Histoire :

L’existence d’une paroisse dans le village est attestée dès le XIIème siècle, le chapitre de Sainte-Waudru de Mons y disposant du droit de collation et y percevant les dîmes.

L’autel d’Eugies fut donné à l’abbaye de Saint-Ghislain.

La seigneurie dépendait d’une part à la manse épiscopale de Cambrai, d’autre part et successivement aux familles d’Eugies, de Compère, de Presles,…

En effet, plusieurs seigneuries étaient établies sur le territoire d’Eugies. La principale avec droit de justice, au XIIIème siècle, échut à Fastré de Ligne par échange avec Jeanne de Constantinople, comtesse de Hainaut.

Au XIVème, après avoir appartenu à plusieurs seigneurs, elle aboutit dans le patrimoine de la famille Arnemuiden d’où elle passa par héritage à l’écrivain Philippe de Commynes. Elle appartint au début du XVIème à la famille de Bretagne, comtes de Penthièvre et à partir de 1538 aux Graves, et cela jusqu’en 1773.

D’autres seigneuries comme celle de Colfontaine et Bois-l’Evêque ou celle du chapitre de Sainte-Waudru de Mons y eurent également quelques possessions.

La communauté d’Eugies jouissait des indivis avec celles de Quaregnon, de Jemappes et de Frameries, des « communs Pâturages » (futur village de Pâturages).

En 1729, la superficie s’agrandit suite à un partage de terrains communs entre Frameries et Eugies.

La population était essentiellement agricole et groupée autour de l’église.

Au XIXème siècle, les industries étaient surtout des fabriques d’outils, des corderies, …  Il y avait aussi des fours à briques, une fonderie de suif, une brasserie, un moulin à farine mû par l’eau, une carrière de grès schisteux dans le bois de Colfontaine et surtout une industrie de chaussures, dont Eugies fut un des centres borains (quatre entreprises en 1930).

Le sous-sol était pauvre en ressources charbonnières. Néanmoins, l’extraction du charbon a commencé au XVIIème siècle. Les houillers vinrent s’installer dès le milieu de ce siècle

Eglise St Remy

Située dans le quartier du Petit-Eugies, près de la Place, l’église fut remaniée dans le style classique en 1717. Elle intègre des éléments gothiques du XVIème siècle.

L’édifice, qui a subi de nombreux remaniements, est de plan basilical avec trois nefs de cinq travées, une tour occidentale et un chœur encadré par deux sacristies. La partie ouest, construite en moellons, pourrait remonter a l’époque romane et aurait subi des remaniements au XVIe siècle (fenêtres gothiques percées dans la face nord). Le chœur et les deux dernières travées de la nef, construits en briques, datent de 1717. La partie inférieure de la façade est en grès sablonneux, la partie supérieure et la tour sont en briques et datent du XVIIIe siècle. A l’intérieur, l’ensemble est de style classique rural avec des voûtes domicales supportées par des piliers carrés et des colonnes toscanes. Eugies, fusionnée aujourd’hui à Frameries, dépendait autrefois du diocèse de Cambrai et du décanat de Mons. La collation de la cure revenait au chapitre de Sainte-Waudru à Mons.

La diversité des matériaux peut gêner un peu mais elle présente un intérieur remarquablement enduit et peint. Elle conserve une chaire de vérité Louis XV du XVIIIème siècle en chêne sculpté, les fonds baptismaux sont du XVIIème siècle. Elle possède des substructions romaines.

Certaines parties dateraient de la fin du XIème et du début XIIème siècles. Elle aurait été restaurée en 1959.

Chapelle du Coron

Rue de l’Egalité, (après le n° 47)

Oratoire daté de 1687 sur la clef de la porte, la chapelle est implantée à l’entrée du village en venant de Frameries.  A l’abri d’un petit porche de la fin du XVIIIème siècle, reposant sur deux hauts piliers, on trouve une porte à l’encadrement soigné. Elle est presque adossée au mur du cimetière.

Ancienne maison communale

Situé sur la Grand-Place, le bâtiment est daté de 1865 dans le médaillon du fronton.  Il est construit dans un style néo-classique et une composition stricte, structuré par le frontispice et les cordons lamiers qui ceinturent l’ensemble. Sur l’un d’entre eux, on peut lire la signature de l’architecte P. Carion. A l’intérieur, la « Maison de la Mémoire et de la Création » conserve le souvenir de personnalités locales (Louis Piérard et Joseph Dufrasnes dit « Bosquetia »). L’étage est occupé par une salle ovale de style néo-classique.

Après cinq années d'activités consacrées à la valorisation artistique de son patrimoine local, à l'exposition des œuvres des artistes amateurs et professionnels et à l'accueil d'artistes et de spectacles régionaux, le Centre Culturel abrite à présent le secrétariat du Centre Culturel Local, créé récemment et est reconnu officiellement par la Communauté Française.

Deux salles de l'ancienne maison communale d'Eugies évoquent l'histoire locale à l'initiative de la Fondation Louis Piérard. La première est consacrée à Bosquètia (Joseph Dufrane), auteur patoisant, chantre de Frameries et la seconde à Louis Piérard, homme politique, de renommée internationale, écrivain, journaliste et protecteur des arts et des lettres.

La ferme Louis

La cave de l’ermite

Le Dépôt et un tram type « Eugies » !

La plus importante industrie locale, actuellement est le dépôt de bus (35 bus, 60 chauffeurs et des mécaniciens) qui était anciennement le dépôt de trams.

En 1900, La Société Nationale des Chemin de fer vicinaux installa chez nous sa gare et ses ateliers. Cet organisme sera une source de recrutement de main d'œuvre variée pour les habitants pendant de nombreuses années (dernier tram en 1972).

A cette époque, la ligne Eugies-Sars allait jusqu'au terminal situé sur l'actuel camping Collard.

Cinq ans plus tard, elle fut prolongée vers Blaregnies. Le tram à vapeur de Sars fut supprimé en 1935.

Et remis en activité de 40 à 45. La guerre l'avait remis sur les rails mais avec la paix, on le supprima au profit des autobus.

La gare vicinale d’Eugies

Tram Standard 10281 (années 30) circulant à THUIN, c'est la 10284 qui est une "Eugies" (motrice qui a été modernisée au dépôt-atelier d'Eugies)

Dépôt actuel d’Eugies (juin 2011)

Le Tramway Lobbes Thuin est une ligne de tramway à voie métrique et à alimentation électrique 600 V continu par ligne aérienne, exploitée conjointement avec un vaste musée consacré au tramway, le Centre de Découverte du Vicinal à Thuin en Belgique.

La ligne et le musée sont gérés par l'Asbl A.S.Vi., fondée en 1972. Elle a pour but de sauvegarder, restaurer et mettre en service à des fins historiques et touristiques des tramways de l’ancienne Société nationale des chemins de fer vicinaux. L’association est composée uniquement de bénévoles.

La ligne est composée de deux éléments principaux :

- une section de l'ancienne ligne de tramway vicinal Thuin - Anderlues (lignes 91 et 92). Cette ligne faisait partie du célèbre réseau vicinal belge qui autrefois couvrait toute la Belgique ;

- une section de voie SNCB à voie normale (ligne 109 Mons - Chimay) qui a été déferrée, mise à l'écartement de 1 m et équipée d'un fil de contact pour l'alimentation sur son parcours jusqu'au Musée.

Bois de Colfontaine

NDLR : Il est évident que le Bois de Colfontaine couvre plusieurs communes dont Eugies.

Un article plus complet se trouve sur la                fiche « Colfontaine » et « Lait buré ».

Entité : Colfontaine, Frameries, Dour et Boussu

Superficie : 841,8853 ha.

Cours d’eau :

El Wasmes

Ruisseau de Colfontaine

Ruisseau du Bois de l’Evêque

Ruisseau Jean Finet

Ruisseau de Mouligneau

Ruisseau d'Audenaerde

Population:

On trouve dans le taillis principalement des noisetiers, charmes, frênes et érables. La futaie comprend des chênes, ormes, peupliers, hêtres, érables, merisiers, châtaigniers et quelques conifères.

On trouve au sol des jonquilles, jacinthes des bois, fougères, …

Géographie :

La forêt de Colfontaine s’étend sur le territoire d’Eugies, Sars-la-Bruyère, Dour et Blaugies.

Elle se compose des Bois de Blaugies, de Sars, de Montreuil et de ceux de Saint-Ghislain et de Robertsars.

Elle est entrecoupée de plusieurs petites vallées et de valons qui aboutissent à de grands plateaux. Au fond de ces vallées coulent de paisibles ruisseaux (Mouligneau, de Colfontaine,...). Il y a quelques sources (du Cerisier, de l’Ermite,…).

Non loin de la « Belle Maison », on découvre la « Baraque à ramons », où existait autrefois un atelier à ramons (balais en patois). La galerie était une ancienne carrière creusée dans le poudingue et les arkoses houillers. Ces roches ont été exploitées pour être utilisées comme moellons, pavés et autres applications nécessitant des pierres de dimensions modestes. L’Institut national des mines (Pâturages) y a livré des expériences (tests d’explosifs) pendant quelques temps.

On peut, à cet endroit, observer des roches qui se sont déposées il y a +/- 330 millions d’années. La tectonique des plaques a en effet provoqué des plissements des sédiments et des roches créant la géographie suivante :

- Au Nord du PNHP : le continent Nord Atlantique aussi appelé « Continent des vieux grés rouges », composé de montagnes vielles et déjà érodées.

- Au Sud du PNHP : le « Continent varisque » composé de jeunes montagnes.

Ce pli est nettement visible en ce lieu. La grande faille marque la séparation entre le houiller et le dévonien.

Ce bois présente une faune et une flore très variées. Il présente également de nombreux ruisseaux (Mouligneau, Colfontaine, …) et on y trouve beaucoup de sources (de l’Ermite, du Cerisier, …).

Protection : sites proposés pour Natura 2000

Le site Natura 2000 du « Bois de Colfontaine » est situé sur les communes de Colfontaine (319 ha), Dour (274 ha), Frameries (247 ha) et de Boussu (1ha), à une altitude moyenne de 120 mètres.

Le site du Bois de Colfontaine a été désigné comme site Natura 2000 parce qu’il renferme des habitats repris dans les annexes de la directive Habitat :

- on y rencontre une importante chênaie charmaie (59,4%) ;

- certains cours d’eau sont bordés par des aulnaies frênaies alluviales (2,9%, habitat prioritaire) ;

- on y trouve des mégaphorbiaies (0,1%) ;

- ce site présente un intérêt non négligeable pour l'établissement d'un réseau écologique cohérent dans cette région ;

- le massif forestier est important pour des espèces d’oiseaux telles le pic noir et le pic mar ;

- le martin-pêcheur est présent sur les ruisseaux du massif ;

- le site est réputé pour être la seule station belge de l’asaret ;

- ce site a un grand intérêt géologique (côtoiement de calcaires du Viséen, de schistes et poudingues du Westphalien et de psammites du Gedinni en).

Caractéristiques du site :

C’est un massif forestier mélangé, comprenant des landes à callune sur sable et des zones humides de grand intérêt. Il présente un grand intérêt géologique (côtoiement de calcaires du Viséen, de schistes et poudingues du Westphalien et de psammites du Gedinnien).

Vulnérabilité :

Un des dangers est lié à la fréquentation touristique de certaines zones : piétinements en sous-bois, dépôts d'immondices, cueillettes et ramassages excessifs (jonquilles, champignons...). Il y a aussi un risque du aux effluents domestiques et agricoles sur les eaux du Ruisseau d'Audenaerde, ainsi que des modifications des berges suite à des aménagements hydrauliques.

La circulation en forêt est régie par un décret du 01/01/1996.

Histoire :

Le territoire fut acquis par Colas de Fontaine, évêque de Cambrai (1248-1274) qui lui donna son nom : Bois de l’Evêque.

Vers 1510, le Bois de l’Evêque relevait de la seigneurie de Colfontaine et formait une possession de l’Evêché de Cambrai.

On trouve dans ce bois un vestige d’une substruction médiévale : la cave de l’Ermite.

Ce serait un ancien ermitage. Le sentier des Moines, partant de cette cave vers la rue de l’Ermite à Pâturages et l’église d’Eugies semblerait vérifier cette hypothèse. Quoi qu’il en soit, dès la fin du XVIème siècle, il était courant de rencontrer des ermites et prédicateurs dans la région.

Mais le site remonterait à l’ère romaine. En attestent les pièces de monnaies des empereurs Valériens et Gallien (IIIème siècle avant J.C.) qui y ont été retrouvées. Certains s’avancent même à dire qu’il s’agirait d’un bout de sous-sol d’une villa romaine…

D’autre part, on trouve toujours une plante d’origine méridionale : Cabaret asarum curopeum.

Il est donc presque sûr qu’une villa gallo-romaine a existé à cet endroit. De plus, on y a découvert des fondations d’une muraille médiévale et deux villas romaines existaient non loin du bois…

Fénelon appréciait la région du Bois de Colfontaine et il y aurait fait construire, selon la tradition populaire, « La Belle Maison ». Il organisa l’exploitation de la forêt.

A la révolution française, le bois fut confisqué par l’Etat et devint propriété domaniale, dépendant de l’Administration des Eaux et forêts de Mons.

Sous le Régime hollandais, lors de la liquidation des biens domaniaux, le bois fut mis en vente.

On y trouve le  « sentier des Casaques » par où les troupes russes seraient passées en 1814.

Henri De Gorge acquit successivement la plupart des bois constituant la forêt de Colfontaine. Il entreprit de grands travaux dans la forêt, d’après les plans de l’architecte parisien Séquenard, expert forestier à Paris et auteur des jardins des Tuileries à Paris. L’aménagement du bois débuta en 1852. Les chemins devant allier promenades et exploitations. Les grandes allées qui le traversent avec des ronds points de tilleuls donnent une fière allure faisant évidemment penser aux « jardins à la française ».

Il y fit construire un beau Pavillon de chasse.

A noter que De Gorge ne ferma jamais sa propriété, de telle sorte que chacun pouvait s’y balader.

Ses héritiers négligèrent un peu la propriété.

En 1907, la forêt était menacée de dépeçage. Une campagne de sauvetage s’organisa autour de Louis Piérard, Albert Libiez, …

Une réunion fut organisée au Pavillon des Chasseurs à la Pentecôte en 1907. Elle attira des milliers de personnes. La cause était gagnée. En 1908, l’Etat racheta la forêt.

En 1933, la ligue des « Amis des arbres ou de Colfontaine » fut fondée à Pâturages. Elle avait pour but de veiller au maintien de la forêt dans son intégralité. Une plaque fut apposée pour l’occasion sur le Pavillon des chasseurs.

Trois promenades furent déjà aménagées après la seconde guerre. Elles portaient le nom de résistants de la région : Albert Libiez, Achille Dieu et Jacques Libiez.

On découvre aussi près de la « Tour du lait buré », du nom de la ferme qui se trouvait à cet endroit et qui fut transformée en guinguette au XIXème siècle, un banc en pierre de Soignies, qui perpétue le souvenir de Louis Piérard, grand défenseur du bois. Il porte l’inscription suivante : « Louis Piérard, ami des arbres ».

La Belle Maison occupée jadis par Fénelon

Moulin

 

Charbonnages

Demande de concessions …

La dernière colonne renseigne la date de la dernière demande concession.

Mais le village était essentiellement à vocation agricole et dans la seconde moitié du XVIIème, commença l'implantation de plus en plus importante des houilleurs dans les hameaux de l'Aisette (au Nord) et du Culot (à l'Ouest).
Le sous-sol offrant peu de ressources pour l'exploitation charbonnière, d'autres industries ont vu le jour : fabriques d'outils, de claies de mines, ou panneaux de protection en osier; corderie, fonderie de suif pour la production de cierges et de bougies, fours à chaux, à briques, pannerie, carrière de grès, ateliers de chaussures. 
Eugies compta également plusieurs brasseries et moulins.

Chaque mercredi après midi, un grand nombre de marcheurs parcourt les chemins et sentiers de Sambre-Avesnois. Trois sections se répartissent les trajets selon leurs goûts et leur forme physique pour des parcours de 6 km, 8 km ou 10 km voire plus.

Le mercredi - rendez-vous sur un lieu de randonnée différent à 14h30 (à 14h00 à partir du début novembre)

Responsables:
M. Patrick Jeanniot
Mme Brigitte Devos

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 Le certificat médical est obligatoire pour la participation dans les promenades et randonnées pédestres.

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