Preux-au-Bois.

Superficie : 399ha. Population en 1999 : 807hab.

Habitants : Les Preutains , ou Pétrosiens.

Avant de se nommer Preux, le village s’appelle très probablement Quiévy, nom conservé dans la rue de Quiévy, située au nord de l’agglomération. Ce toponyme gallo-romain signifie « domaine de Cavius ». On a en effet trouvé tant au nord qu’au Bonnettes, au sud-est, de nombreuses traces d’occupation romaine.

En outre, en 1978, le creusement d’un étang de plaisance a permis d’observer les vestiges d’un habitat organisé, en bois et en torchis, datant de l’époque carolingienne, et ceux de fossés vers 1050 pour délimiter les diverses parties de la basse-cour du château. Preux est le siège d’une seigneurie possédée par plusieurs familles. En 1590, Philippe II la confisque à Ghislain de Boufflers et la vend à Charles de Martigny. Elle passe en 1600 dans la famille de Sucre, qui la cède en 1824 à M. de la Coste de Sebourg. Preux subit les contrecoups des sièges de Landrecies et il est en 1793, le théâtre de combats entre Français et Autrichiens.

EGLISE SAINT MARTIN.

En pierre et brique. Reconstruite en 1764, l’église de Preux conserve des soubassements gothiques en pierre de grès taillée. Elle a fait l’objet d’une restauration récente. Le maître-autel du XVIII° siècle, en bois de chêne partiellement doré, est doté d’un tabernacle richement sculpté. Les boiseries latérales soutiennent quatre anges. Les flambeaux sont en bronze doré.

A voir également, à l’intérieur de l’église, une statue de Saint Roch (patron des bergers) du XVIII° siècle en bois peint.

Buste du Général Antonio-José de Sucre Y Alcasa.

1995, en bronze, étang de Plaisance.

Antonio José-de-Sucre, descendant des seigneurs de Preux, est élu président à vie de la Bolivie en 1826, après la démission de Simon Bolivar, et abdique en 1828. Il donne son nom à la capitale de la Bolivie, Sucre, à la monnaie de l’Equateur et à un département septentrional du Venezuela.

Ancienne Galocherie.

1889-1948. Rue du Village.

La galocherie de Preux est fondée en 1889 par Léon Blanchet ; elle occupe à cette époque 25 ouvriers. La fabrication des galoches s’arrête en 1948. Paul Blanchet poursuit l’activité de menuiserie en fabriquant des pièces pour des machines agricoles ainsi que pour une chaiserie locale.

Voici le petit reportage du groupe des 6 kms.

Environ 40 volontaires malgré la météo pas très encourageante dont 11 qui ont choisit le petit circuit + 3 qui ont préféré faire "leur très petit tour" rien de remarquable aujourd'hui sauf que une harde de sangliers a croisé les marcheurs longue distance (attendons leur reportage pour en savoir plus) et que les absents ont toujours tort puisqu'il n'y a pas eu une goutte de pluie!!!!!!!!!!!

Pour la semaine prochaine nous serons à Clairfayts

Cordialement php