À Saint-Waast tout s’en va ….

De l’autre côté de l’ancienne route nationale, l’église, décrite par Michel dans son commentaire [photo 01 – dossier 30], nous présente un calvaire immaculé, qui semble tout neuf [02].

La grange, aussi décrite par Michel, est à deux pas du lieu du rendez-vous [03].

Yves étant absent c’est Élie qui lit l’historique assisté par Daniel [04].

Tout en l’écoutant, l’assistance se chauffe au soleil [05 et 06].

Le départ du "groupe des six" (nous serons dix-sept) est retardé pour attendre Philippe qui est retourné chez lui, à Maubeuge, prendre ses chaussures de marche qu’il a oubliées. On le guette. Le voici qui se gare. Pour calmer l’impatience de quelques-un(e)s nous démarrons lentement en en profitant pour admirer l’Hogneau [07] puis avançons, pas trop vite, en file indienne sur l’étroit sentier de la Messe [08].

Au pont sur le Ruisseau de Maroy (que j’ai désigné, par erreur, aux marcheurs comme étant l’Hogneau) nous attendons que Philippe s’annonce en compagnie de Jocelyne et de Geneviève [09]. Ce qui se pointe c’est le "groupe des sept, guidé par Élie, et ils n’ont pas vu les trois retardataires. Bizarre ! Attendons encore un peu [10], ils ont le plan du circuit [image 00], ils vont s’y retrouver. À moins qu’ils n’aient pas trouvé le sentier…. Nous le saurons plus tard : c’est bien cela. Ils ont confondu l’entrée du sentier de la Messe avec l’entrée de la maison voisine, se sont dit que ce n’était pas ça et ont continué sur le sentier des Douze Saules jusqu’à la Cambuse où ils ont rencontré le "groupe des sept".

Élie leur a assuré que nous étions derrière eux mais Philippe n’a pas voulu l’entendre ; comment cela aurait-il été possible ? Et pourtant c’était l’exacte vérité, voyez comme nous sommes gaillard(e)s sur le chemin de Ceinture [11].

Sur le chemin de la Cambuse nous n’apercevons personne. Au lieu de croire Élie et de nous attendre au carrefour, les trois ont suivi la rue du Pissotiau puis le chemin des Boules pour finalement s’en retourner. Enfin, c’est ce que j’ai cru comprendre….

Nous, nous tâchons d’éviter les flaques entre la Cambuse et la ferme de Cambron [12]. Nous jetons un œil à travers la haie sur des agneaux mignons comme tout [13].

Petite pause. Nous allons les attendre une dernière fois et en profiter pour tirer des photos triées sur le volet : d’abord les dames. Du Nord au Sud c’est-à-dire de votre gauche vers votre droite se présentent Claude, Monique, Marie-Marthe, Véronique, Lydie, Anne-Marie, Béatrice qui se cache et Jocelyne [14]. Ah ! Béatrice vient d’apparaître mais qu’est-ce qu’il fait là, Alain Gobert ? [15] Les hommes ne seront pas en reste ; sur la photo tirée par Véronique voici René, Charles, Serge, Alain (déjà vu), Guy et Jacques [16].

Après la chapelle de Cambron, le sentier est à peine marqué [17]. Nous perdons un peu de temps à la ferme de la cote 139 afin d’admirer les pommes toutes fraîches qui vont être traitées pour donner du jus [18]. Beaucoup repartiront en en dégustant une. Difficile de résister à la tentation.

L’Hogneau est bien plus abondant que le nom de Pissotiau le ferait croire [19].

Le chemin des Boules nous permet de rejoindre l’ancienne route nationale [20] qui, à son tour, nous ramène à l’église -- que l’on devine dans le décor embrumé : brume de chaleur, pas de quoi s’inquiéter.

Philippe, Jocelyne et Geneviève nous attendent sur la place. Le podomètre de Philippe indique 4,800 km. Là, j’ai des doutes….

Nous, en tous cas, nous avons marche six kilomètres mesurés le plus justement possible à notre vitesse coutumière de trois kilomètres à l’heure – sur un circuit qui n’a pas arrêté de monter et de descendre !

Mercredi prochain ce sera à Maroilles, je n’en dis pas plus, j’ai déjà trop parlé.

Bonne semaine.

Guy